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Ce blog traite de toutes les questions liées à la vie de la Côte d'Ivoire, notre pays. Ainsi, nous porterons un regard objectif sur l'actualité politique, sociale, économique et culturelle qui l'anime, sans faux fuyants. Nous proposerons également des "flashbacks" sur les faits et événements qui ont marqué son jeune histoire, en particulier la période de violence qui a suivi le coup d'État du 24 décembre 1999 jusqu'au 11 avril 2011, date qui marque le début d'une nouvelle ère pour la Côte d'Ivoire avec le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara comme guide. Nous proposerons des analyses, des critiques, des propositions et surtout des coups de gueule. Nous espérons ainsi apporter notre pierre à l'édifice démocratique qui se construit progressivement depuis la chute du dictateur Laurent Gbagbo et son transfèrement salutaire à La Haye ! Merci de nous visiter et de venir à nous, pas comme des ennemis mais comme des frères ou des adversaires voulant participer à l'animation des médias en ce qui concerne notre beau pays ! Nous ne prétendons pas détenir le monopole de la vérité, mais nous avons notre part de vérité ! El Dozo

lundi 14 septembre 2015

LE DJIHADISTE DE LA PRESSE IVOIRIENNE PRIS A SON PROPRE PIÈGE...

Dans sa dernière parution en date du 11/09/2015, le "pachyderme décharné" de la presse ivoirienne et son animateur principal ont remis le couvert. Comme on devait si attendre, le parano et déséquilibré mental qui fait office de DG, a fait montre de toute sa canaillerie. Il a fait étalage de sa bestialité légendaire en tronquant, à loisir, notre texte intitulé "CONCOURS DE LA FONCTION PUBLIQUE: L'ODIEUX ACHARNEMENT D'UN MAÎTRE CHANTEUR" qui, Dieu merci, se trouve toujours sur notre mur Facebook. Là où nous attendions de lui qu'il démonte avec force nos arguments, il a comme à son habitude, préféré se réfugier derrière son éternel refrain: "on me menace de mort". Décidément, il a raison celui qui a inventé la formule selon laquelle "ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit".

Le djihadiste (il n'hésiterait pas à faire sauter sa propre cervelle pour accuser une main innocente. Rien que pour paraître comme un martyr) a trouvé en notre article, matière à se gonfler les muscles. Nous aurons pu éviter de faire un zoom sur sa gueule, encore une fois, s'il n'avait pas employé le terme "mort" dans son pamphlet. Jusqu'à preuve du contraire nous n'avions employé ce mot dans aucune de nos publications. Seuls les arguments ont prévalu.
En ce qui concerne les informations relatives aux concours de la Fonction Publique, nous avions démontré par A+B qu'il était dans le faux. Le seul argument qu'il a pu nous brandir, c'est qu'on le menacerait de mort. Oh! Quelle couardise! Qu'il se rassure, il a affaire à Dorgias El Dozo "le tirailleur d'élites des réseaux sociaux". Ce sont là, ses propres termes. Le sensationnel, l'émotionnel et la victimisation permanente ne pourront nous intimider! Plus encore, le chantage ne passera pas! On va en découdre sans qu'il y ait mort d'homme.
Au risque que le roturier de la presse ivoirienne (amuseur public et bouffon qui pense qu'il a une certaine influence sur le cour des événements), nous présente à nouveau dans son canard comme des "criminels" qui veulent lui faire la peau, nous allons continuer de démonter point par point tous ses arguments. On y va!
"Émergence mentale"!? A lire entre ses lignes, cette expression signifierait qu'on devrait laisser le journaliste qu'il est, raconter ce qu'il veut sur n'importe quel sujet, dire des bêtises à tout vent, débiter des salades sur d'honnêtes personnalités, clamer des billevesées à gorge déployée, sans qu'on ne lui apporte la moindre contradiction même si l'on a des éléments qui le confondent. Il souhaiterait voir les mis en cause, eux mêmes, lui adresser un droit de réponse. De quoi donner de la chaire à son "pachyderme" profondément amaigri et désespérément "décharné", c'est-à-dire donner de la crédibilité à son journal et dans le même temps lui permettre d'avoir une certaine côte. Malheureusement pour lui, cette tactique est connue de tous.
Que le sieur Assalé souffre que nous n'ayons pas la même opinion de ce que représenterait le mot émergence qu'aime à employer le Président de la République. Qu'elle se limite ou non, aux travaux publics, l'émergence ce n'est aucunement le fait de se taire devant des stupidités écrites par dit-on un "journaliste". Toutefois, nous sommes d'accord, avec lui, que "l'émergence mentale, ce n’est pas pour demain". En ce sens qu'il est curieux, en ce 21ème siècle, de voir un journaliste abonné aux accusations gratuites, refuser la contradiction d'où qu'elle vienne.

Il prétend que répondre à ses articles, dénués de toutes objectivités, à travers les réseaux sociaux, c'est faire preuve de lâcheté et même de menace de mort en son encontre! Ah "l'émergence mentale" ce n'est donc pas pour demain la veille? Nous estimons que tant qu'il s'agit de débats d'idée, les réseaux sociaux sont l'espace le mieux indiqué en ce 21ème siècle. Assis derrière un écran d'ordinateur, chacun apporte ses idées dans le style qui lui sied. On s'empoigne verbalement! On argumente aisément! Chacun est content! Et il n'y a pas mort d'hommes.
Avec les nouvelles technologies de l'information plus besoin d'adresser un droit de réponse à un journal pour confondre l'un de ses articles ou d'adresser une plainte aux organismes de régulation de la presse et attendre que le collège de juristes statut avant de sanctionner le journaliste et le journal fautifs. C'est eu égard à ce qui précède, nous donnons raison au DG de l'affamé pachyderme quand il dit que ce processus (droit de réponse, plainte au CNP) est trop lent, trop long, trop lourd et trop laborieux pour nous autres internautes "tirailleurs d'élites des réseaux sociaux".
Le monde a évolué et avance inéluctablement vers la disparition des vieilles habitudes. Les seuls moyens dont nous disposons pour contredire sinon confondre les écrits d'un individu de sa trempe, ce sont bien entendu, les nouveaux canaux d'informations: réseaux sociaux, blogs, sites... ! Le tout puissant DG solitaire devrait se mettre à jour en prenant son ticket: ouvrir un compte facebook ou un blog spécialisé dans la réplique aux idioties et nous foutre la paix! Aussi simple que cela!
Nous n'allons quand même pas être des animateurs de son "éléphant" désespérément "décharné" en lui adressant à tout moment des droits de réponses!? Figurez-vous qu'il a repris en intégralité notre texte, dans sa parution du vendredi 11/09/2015, sur trois (3) pages et demi. Sans le taxé d'être un patron de la paresse....euh! Patron de presse, en panne sèche d'inspiration, nous pensons qu'il était désespérément en manque criard de contenu à même d'animer sa parution de ce jour là.
De plus, nous sommes citoyens de ce pays ou la liberté d'expression est une réalité. Ainsi, nous sommes libres de penser que ce qu'il fait dans son journal n'est en rien de la critique mais plutôt du dénigrement. De nombreuses fois, nous avions dirigé notre plume contre sa gueule. C'était le cas lorsqu'il avait accusé de tentative de corruption certains journalistes dont le Président de l'UNJCI et le DG de l’Intelligent d’Abidjan. C'était encore le cas, lorsqu'il avait publié un pseudo dossier sur des détournements de fond qu'il y aurait eu dans les travaux du "PONT HKB". Est-ce à dire que nous sommes des personnes proches des mis en cause dans ces différents cas?
Nous avions été ahuris, encore un fois, face au traitement qu'il a réservé au sujet lié aux frais de concours de la Fonction Publique session 2015. Sans aucune tenue, il a affirmé que le ministre Bacongo a pris des décisions illégales visant à renflouer les caisses du RDR. C'est en tant que militants de ce parti et admirateurs des actions posées par le Ministre pour le bonheur des fonctionnaires ivoiriens, que nous avions été choqués. Ce qui nous a poussé à réagir. Ainsi nous avions pris sur nous, l'initiative de mener des enquêtes pour rétablir la vérité. Pour se faire, nous n'avions pas eu besoin de grand moyens. Le site internet de la fonction étant ouvert au grand public, il nous a suffit de nous y rendre afin d'avoir des éléments pour notre article.
Nous sommes donc à l'aise de dire que le ministre Bacongo n'est ni de prêt ni de loin mêlé à nos initiatives. Il a trop à faire pour s'intéresser à nos actions. Aussi est-il aberrant de croire que des citoyens, qui plus sont des militants du parti dont il est un haut responsable, ne prendraient pas des initiatives isolées ou personnelles dans le but de confondre ce qu'ils considèrent comme des âneries débitées sur son compte, par un journal en mal d'inspiration.


L'animateur de l'Assalé-Gang devrait donc se rassurer. Nous n'avons aucun moyen pour le menacer de mort. Il n'en vaut pas la peine. Si nous avions un conseil à lui donner, ce serait qu'il arrête de se surestimer. Sa gueule n'intéresse personne! Il n'est ni le premier ni le dernier journaliste à faire de la diffamation, son credo. L'un de ses prédécesseurs du nom de Tapé Koulou (paix à son âme) en avait fait son domaine de prédilection. Il est mort de sa belle mort sans que quelqu'un ait eu à se salir les mains.
Aussi curieux que cela puisse paraître, le propriétaire du célébrissime "le national" et celui de "l'éléphant déchaîner" ont curieusement un parcours, on ne peut plus, identique: repris de justice, anciens pensionnaires de la MACA, journalistes n'ayant aucunement suivis des cours en journalisme, désœuvrés qui par manque d'emploi se sont reconvertis en journalistes, maître chanteur, arnaqueur... On se demande bien qui a copié sur qui! Malin qui saurait répondre.
Par ailleurs, les animateurs des journaux communément appelés "la presse bleue" excellent mieux que quiconque dans le domaine de la délation. Jamais, ils n'ont été inquiétés par qui que se soit. Mais tout le temps, c'est le sieur Assalé qui crie à la menace de mort quand quelqu'un décide de lui rabattre le caquet en détruisant par des arguments solides ses nombreuses fadaises. Je pense qu'à force de se faire passer à chaque fois pour victime d'une menace de mort imaginaire, il finira, si ce n'est déjà fait, par lasser et agacer tout le monde. Et personne ne croirait en quoi que se soit le concernant. Et c'est tant pis pour sa gueule!
Prenons juste pour rire, des propos contradictoires qu'il a servis à ses lecteurs. Affabulateur né, il prétend que nous sommes des individus à la solde du Ministre Bacongo et dans le même temps, il nous impute des assertions d'une énormité inqualifiable. Il dit avoir lu dans notre texte l'affirmation suivante: " (...) Pendant des mois, le Ministre BACONGO aurait céder au chantage du premier responsable de "l'éléphant déchaîné" en lui versant de confortables sommes d'argent (...)". Ce qui est évidemment faux! Heureusement que l'article en question est encore présent sur notre mur. Chacun peut remonter l'historique des modifications et s'en imprégner. Voici ce que nous écrivions à propos des rapports entre ce journaleux et le Ministre:
" Le sieur Assalé, ayant compris que ses gesticulations et autres jappements de chacals haineux ne feront pas revenir sa cliente à la tête de l'ENA, a changé de fusil d'épaule: tenter de se rapprocher du Ministre BACONGO afin de combler le vide laissé par l'ex-directrice de l'ENA. N'ayant pas eu gain de cause, lui et ses va-nu-pieds qui ne sont en rien des journalistes, ont décidé de faire chanter le ministre. Et là encore, échec et mat pour la racaille. Ces derniers temps, les UNES et autres articles truffés de contrevérités qu'il nous est donné de lire, sont justes la mise en exécution de leurs menaces."
Rien de plus, rien de moins. Le ridicule, c'est que le délateur et escroc de la presse ivoirienne est loin de s'imaginer ce qui se raconte sur son compte dans le milieu. Qu'il sache qu'avec les outils des nouvelles technologies de l'information, rien ne se cache et ne saurait résister au temps. Il aurait du apparaître 25 ans plutôt. Et là, comme un arnaqueur professionnel, il aurait plumé beaucoup de pigeons. Aujourd'hui là, tout le monde est "yêrê"! Il n'aura rien! Même "moro cassé"!
Le plus marrant, c'est que le sieur Assalé semble ne pas beaucoup apprécier les qualificatifs tels que: le repris de justice, le roturier de la presse, le djihadiste de la presse, le maître chanteur, l'animateur de l'Assalé-Gang . Pourtant, il excelle bien dans ce domaine. Lui, il ne s'empêche pas de distribuer, à tour de bras, des qualificatifs plus ou moins abjects à tous ceux qui ont le malheur d'être dans sa ligne de mire. A son tour, il s'insurge et condamne ce genre de procédé. "Anh!!! Donc ça fait mal?!"
Petit plaisantin! On va t'apprendre à faire correctement et honnêtement le métier!
Affaire à suivre...

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